Selon des sources autorisées, la visite du pape François au Liban est toujours ajournée et ne pourrait avoir lieu qu’après l’élection d’un nouveau président de la République. Selon des visiteurs du Vatican, le Saint-Siège ne serait pas en faveur d’une conférence internationale pour le Liban, comme le réclament le patriarche maronite Béchara Raï et certaines parties politiques.

Dans les mêmes milieux, on affirme que le Vatican est en faveur d’une application complète de l’accord de Taëf dans tous ses éléments, du respect de la Constitution et des échéances, principalement l’échéance présidentielle. Selon ces sources, la situation sur le plan mondial, régional et intérieur n’est pas favorable à la tenue d’une conférence internationale pour le Liban.