Le président Michel Aoun multiplie les critiques contre les aides fournies par les pays arabes et occidentaux aux ONG et aux groupes de la société civile. Devant ses visiteurs, il fustige un argent électoral fourni à des fins politiques précises, en déplorant le fait que ces fonds échappent au contrôle de l’Etat. Ce à quoi l’opposition réagit en posant une question : Quid de l’argent iranien fourni au Hezbollah ? De sources de l’opposition, on s’interroge aussi sur le point de savoir pourquoi les aides envoyées dans tous les domaines par Téhéran à la formation pro-iranienne ne sont pas critiquées par Michel Aoun et ne sont pas considérées comme des pots-de-vin électoraux ?