Les services de Baabda (la présidence de la République) ont demandé à une autorité judiciaire de prendre les mesures qui s’imposent contre un(e) journaliste qui n’arrête pas de s’en prendre au sexennat et d’attaquer le président de la République, Michel Aoun; son gendre, Gebran Bassil; et leurs conseillers, en leur faisant assumer la responsabilité de la crise et de l’effondrement dans le pays.

Selon les informations obtenues, l’autorité judiciaire en question a promis de suivre l’affaire et de la régler à sa manière, loin des feux de la rampe, afin d’éviter qu’elle ne soit montée en épingle en cas de poursuites. Elle souhaite un règlement qui soit acceptable des deux parties et qui ne porte pas atteinte à la liberté de la presse, laquelle reste pour elle sacrée, mais dans les limites définies par la loi.