De sources diplomatiques occidentales, on assure que des sanctions américaines et européennes sont envisagées si jamais les législatives de mai et la présidentielle d’octobre ne sont pas organisées dans les délais. Celles-ci seront imposées aux personnalités qui seraient tenues pour responsable de ce blocage institutionnel. De mêmes sources, on indique que des concertations franco-américaines ont eu lieu au sujet des élections au Liban et d’éventuelles sanctions en cas de blocage.

Ces deux dossiers seraient évoqués durant la réunion que le Conseil de sécurité de l’Onu tiendra le mois prochain au sujet du Liban.