Le dossier libanais n’était pas au menu des discussions du Sommet européen de Bruxelles (dont les travaux ont été tenus les 23 et 24 juin, ndlr), l’ordre du jour de cette rencontre étant axé sur les dossiers internationaux, vu les développements liés à la guerre en Ukraine et dans la région.

La question des sanctions qui pourraient être imposées à certains responsables libanais n’ont pas non plus été soulevées, selon des sources européennes proches du dossier. D’après celles-ci, la question des sanctions sera remise sur le tapis au cas où l’élection présidentielle ne se tiendra pas avant le 31 octobre 2022 (date de la fin du mandat du président Michel Aoun, ndlr).

Dans les mêmes milieux, on affirme que cette échéance constitue un défi pour les Européens, qui insistent pour qu’elle se tienne dans les délais constitutionnels afin d’éviter les conséquences d’un vide présidentiel sur la scène intérieure.

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