Le député Hassan Fadlallah (Hezbollah): Soyons réalistes. Aucune partie au Parlement ne détient la majorité pour élire un président, ce qui commande une entente autour d’un candidat. Sinon, c’est le même scénario qui va se répéter, d’autant que le défaut de quorum et le vote blanc font partie du jeu démocratique