Le ministre libanais de l’Agriculture, Abbas Hajj Hassan a évoqué samedi matin dans une interview à la chaine télévisée locale LBC,  " la possibilité d’étendre les surfaces agricoles consacrées à la culture du blé " .
L’invasion russe de l’Ukraine fait craindre des retombées économiques mondiales, qui risquent d’affecter particulièrement les pays vulnérables ou déjà en crise comme le Liban.
Celui-ci importe près de la moitié de son blé de l’Ukraine, selon des estimations d’experts, et ne dispose pas d’un plan de sécurité alimentaire préétabli.
 " La culture du blé est enracinée dans la tradition agricole libanaise, mais c’est l’état de l’agriculture en général " , la négligence qu’elle a subie dans la politique économique,  " qui a poussé à dire que le Liban est incapable d’avoir une production minimale de blé dur ou tendre " , a expliqué le ministre.

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