Les migrants qui traversent le Mexique en situation irrégulière sont les victimes privilégiées du crime organisé qui opère plus particulièrement aux frontières sud et nord du Mexique. Ceux qui parviennent à atteindre une des villes mexicaines frontalières avec les États-Unis sont confrontés à l’aspect le plus concret de la politique migratoire de l’Oncle Sam : le mur de quelque 730 kilomètres qui sépare le Mexique des États-Unis. Ce troisième article est axé sur la situation de crise humanitaire à laquelle se trouve confrontée la ville de Tijuana, à la frontière avec la Californie. En raison de la pandémie, cette frontière autrefois la plus transitée au monde est maintenue fermée face aux milliers de demandeurs d’asile qui se retrouvent dans des refuges et des camps informels, aussi insalubres que saturés.

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