Lundi, une polémique a éclaté au sein du Salon international du livre arabe à Beyrouth. En cause notamment la présence d’un grand portrait de Kassem Soleimani, commandant de la branche extérieure de la force al-Qods, au sein des gardiens de la révolution iranienne, assassiné en 2020. Face à ce symbole vu par certains comme un signe de l’influence iranienne, un activiste, Chafic Badr, a investi les locaux en scandant “Beyrouth horra horra” (Beyrouth est libre libre). Sauvagement battu de même que les deux personnes ayant tenté de lui venir en aide, il a été transporté à l’hôpital. Jusque tard dans l’après-midi, Chafic Badr était toujours aux urgences où il est soumis à des examens médicaux. Entre autres, il souffre de côtes brisées.
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