L’année 2021 a sans aucun doute été un bon millésime pour les différents acteurs du marché de l’art libanais. Face à un contexte de crise sans précédent, les maisons d’enchères ont su faire preuve d’adaptabilité. Conversion numérique et transactions en chèque " lollar " ont permis de doper une demande au point mort. Reste qu’avec la volatilité conjoncturelle, l’expansion demeure précaire.

La totalité de l’article via le lien : https://icibeyrouth.com/economie/44847