Le château d’eau du Moyen-Orient se tarit. Une situation paradoxale dans un pays qui compte 40 cours d’eau, 2.000 sources et un taux de précipitation conséquent en hiver. Pourtant, la demande en eau dépasse les ressources disponibles. À l’origine de ce stress hydrique: la négligence des pouvoirs publics combinée, entre autres, à la pollution.

Concrètement, comment en sommes-nous arrivés là? Quelles sont les potentielles solutions? À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, l’économiste-géographe Roland Riachi, enseignant à l’Université Paris 8 et chercheur associé au Centre arabe de recherches et d’études politiques de Paris, répond aux questions d’Ici Beyrouth.

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