Les cinq pays ayant participé à la réunion de Paris consacrée au Liban et à l’échéance présidentielle (États-Unis, France, Arabie Saoudite, Égypte et Qatar) auraient décidé d’imposer des sanctions à ceux qui entravent l’élection présidentielle au Liban. Selon un ex-ministre généralement bien informé, Washington exercerait de fortes pressions pour élire un président avant la fin du mois de juin. L’administration US ne cache pas en effet son inquiétude au sujet de la vacance à la tête de la Banque du Liban (BDL). Or nul n’ignore que la désignation d’un nouveau gouverneur de la BDL nécessite en amont l’élection d’un président de la République et par la suite la formation d’un gouvernement car la nomination d’un gouverneur de la Banque centrale ne peut se faire en l’absence d’un chef de l’État.

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