Le président de la République, Michel Aoun, a affirmé jeudi que "le processus de lutte contre la corruption au Liban n’est pas simplement une campagne éphémère qui se terminerait avec quelques exploits et avec un changement de circonstances, mais doit se transformer en une démarche solide en matière de gouvernance, dans l’esprit du peuple, et le travail des institutions publiques et sous l’égide de la loi."
A l’occasion du 18e anniversaire de l’adoption de la Convention des Nations Unies contre la corruption, à laquelle le Liban a adhéré en 2009, le président Aoun a souligné que " cette marche ne s’arrêtera pas après aujourd’hui, car les Libanais ont pris conscience de l’étendue des dégâts que la corruption a causés dans leur vie et dans l’avenir de leurs enfants, et je suis certain qu’ils auront leur mot à dire contre les corrompues lors des prochaines élections législatives ".
Par ailleurs, le Président a également reçu la visite de l’ambassadeur britannique, le Dr. Ian Collard, le responsable de KPMG qui est en charge du dossier d’audit comptable dans les comptes de la Banque du Liban, du député Martin Huiskers, ainsi que du secrétaire général du parti " Tashnaq ", Hagop Pakradounian qui a évoqué avec le président des conditions de vie difficiles que traverse le pays.

 

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