La société française Nexa Technologies, accusée d’avoir vendu du matériel de cybersurveillance au régime égyptien qui lui aurait permis de traquer des opposants, a été mise en examen en octobre pour " complicité d’actes de torture et de disparitions forcées ", a appris dimanche l’AFP de source proche du dossier.
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3 Mai, 2024 à 21:47