Plus de trois mois après la fin du mandat du président Michel Aoun, en octobre 2022, le Parlement demeure incapable d’élire un nouveau chef de l’État. À l’heure où l’alliance entre le Courant patriotique libre et le Hezbollah connaît de fortes turbulences, tout porte à croire que la vacance à la magistrature suprême pourrait s’installer dans la durée. Une situation qui aggrave davantage la crise économique et financière inédite dans laquelle le Liban est embourbé depuis plus de trois ans.

L’invité d’Ici Beyrouth: Georges Salwan, spécialiste de la politique libanaise.

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