Pour le député de Baabda et membre du bloc parlementaire aouniste Liban fort, Alain Aoun, le " problème ne réside pas dans la fin du mandat du président de la République, puisqu’il s’agit d’une étape ordinaire ". D’après lui, la véritable crainte est celle du " passage à un stade de vide incontrôlé, dans un pays où le gouvernement est démissionnaire et n’a pas les pleins pouvoirs ".

" Nous n’avons jamais cherché à prolonger le mandat "., a-t-il ajouté, dans une interview accordée à la Voix du Liban, alors que son collègue du bloc parlementaire du CPL, Sélim Aoun, estimant dans une interview également radiodiffusée, que ce parti " a le meilleur candidat à la présidence de la République, Gebran Bassil ". " Mais nous ne pouvons pas le hisser à Baabda, d’où les contacts que nous avons établis avec d’autres groupes politiques ".

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