Karen Khachanov, 20e mondial, a failli infliger une humiliation au Japonais Yoshihito Nishioka (30e) qu'il a finalement battu 6-0, 6-0, 7-6 (7/5) après avoir remporté les quatorze premiers jeux, dimanche en 8es de finale de l'Open d'Australie à Melbourne.
"Durant les deux premiers sets, je ne comprenais pas ce qui se passait. Et c'est toujours un peu compliqué mentalement quand le match est trop facile. Le troisième set a d'ailleurs été très compliqué mais j'ai très bien joué", a commenté le Russe de 26 ans.
Ancien N.8 à l'ATP, il a joué les demi-finales du dernier US Open mais n'avait jamais dépassé le troisième tour à Melbourne. Pour son premier quart australien, il affrontera mardi l'Américain Sebastian Korda (31e).
A 6-0, 4-0, Nishioka complètement dépassé a fracassé sa raquette au sol. Mais le changement d'outil n'a rien changé: il a concédé encore un 6-0 en n'ayant marqué en tout et pour tout que deux points dans la manche ! Il n'en avait déjà inscrit que onze dans la première...
Et l'on semblait se diriger vers un rarissime triple 6-0 (cinq seulement dans l'histoire des tournois du Grand Chelem, le dernier en 1993 à Roland-Garros en faveur de Sergi Bruguera contre Thierry Champion) quand le Japonais a réussi le débreak pour revenir à 2-1 dans le troisième set et a ensuite poussé le Russe au tie break.
AFP
"Durant les deux premiers sets, je ne comprenais pas ce qui se passait. Et c'est toujours un peu compliqué mentalement quand le match est trop facile. Le troisième set a d'ailleurs été très compliqué mais j'ai très bien joué", a commenté le Russe de 26 ans.
Ancien N.8 à l'ATP, il a joué les demi-finales du dernier US Open mais n'avait jamais dépassé le troisième tour à Melbourne. Pour son premier quart australien, il affrontera mardi l'Américain Sebastian Korda (31e).
A 6-0, 4-0, Nishioka complètement dépassé a fracassé sa raquette au sol. Mais le changement d'outil n'a rien changé: il a concédé encore un 6-0 en n'ayant marqué en tout et pour tout que deux points dans la manche ! Il n'en avait déjà inscrit que onze dans la première...
Et l'on semblait se diriger vers un rarissime triple 6-0 (cinq seulement dans l'histoire des tournois du Grand Chelem, le dernier en 1993 à Roland-Garros en faveur de Sergi Bruguera contre Thierry Champion) quand le Japonais a réussi le débreak pour revenir à 2-1 dans le troisième set et a ensuite poussé le Russe au tie break.
AFP