La France s'est retrouvée sous les feux des critiques, lundi à l'ONU, sur des questions liées aux droits de l'homme. Plusieurs pays comme la Russie et l'Iran, connus pour leurs politiques répressives, ont été particulièrement virulents envers Paris.
Attaques contre les migrants, profilage racial, violences policières: la France s'est vue lundi visée par des critiques à l'ONU qui examinait la situation des droits de l'homme dans l'Hexagone.
Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU s'est penché pendant plus de trois heures sur la situation des droits humains en France, une procédure à laquelle se soumettent régulièrement tous les Etats membres des Nations unies.
Un grand nombre de pays, y compris les Etats-Unis, mais également la Tunisie, ont appelé la France à accroître ses efforts pour lutter contre les violences et les discriminations raciales. Les violences policières lors d'opérations de maintien de l'ordre ont également été mises en exergue par plusieurs délégations comme la Suède, la Norvège et le Danemark par exemple.
La Russie, le Venezuela et l'Iran, trois pays dont les graves violations des droits de l'homme sont régulièrement condamnées par l'ONU et les organismes de défense des droits humains, ont aussi choisi de critiquer plus particulièrement les violences policières.
En France même, les critiques se sont multipliées contre le recours à la force jugé excessif ces derniers mois envers les manifestants opposés à la réforme des retraites.
Malo Pinatel, avec AFP
Attaques contre les migrants, profilage racial, violences policières: la France s'est vue lundi visée par des critiques à l'ONU qui examinait la situation des droits de l'homme dans l'Hexagone.
Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU s'est penché pendant plus de trois heures sur la situation des droits humains en France, une procédure à laquelle se soumettent régulièrement tous les Etats membres des Nations unies.
Un grand nombre de pays, y compris les Etats-Unis, mais également la Tunisie, ont appelé la France à accroître ses efforts pour lutter contre les violences et les discriminations raciales. Les violences policières lors d'opérations de maintien de l'ordre ont également été mises en exergue par plusieurs délégations comme la Suède, la Norvège et le Danemark par exemple.
La Russie, le Venezuela et l'Iran, trois pays dont les graves violations des droits de l'homme sont régulièrement condamnées par l'ONU et les organismes de défense des droits humains, ont aussi choisi de critiquer plus particulièrement les violences policières.
En France même, les critiques se sont multipliées contre le recours à la force jugé excessif ces derniers mois envers les manifestants opposés à la réforme des retraites.
Malo Pinatel, avec AFP