L’Arabie saoudite, qui était la partie principale à l’origine du document d’entente nationale à Taëf en 1989, souhaiterait aujourd’hui la tenue d’une nouvelle conférence sur le Liban au Caire ou à Paris pour développer cet accord de manière à ce qu’il soit conforme au contenu du dernier communiqué conjoint Macron-MBS – incluant les résolutions internationales et la déclaration de Baabda -, et le mettre en application.