Les efforts visant à débloquer la présidentielle s’intensifient au plus haut niveau parallèlement aux développements attendus sur la scène régionale et en marge de l’Assemblée générale des Nations Unies durant les mois de septembre et d’octobre, souligne un responsable arabe proche du groupe des Cinq (France, États-Unis, Arabie saoudite, Qatar et Égypte). Selon lui, un président devrait être élu dans les prochaines semaines.

Ce responsable fait état, en effet, d’une pression arabe et internationale pour mettre fin à la vacance présidentielle, soulignant que des sanctions américaines et européennes pourraient être imposées aux parties qui paralysent la présidentielle.