Des réunions ont lieu entre les députés du bloc du Rassemblement démocratique dirigé par le Parti socialiste progressiste (PSP) et le bloc de la République forte des Forces libanaises afin d’examiner les progrès réalisés par le groupe des Cinq, dans leurs efforts pour faciliter l’élection présidentielle longtemps bloquée.
Selon des informations émanant de cercles proches du Quintet, qui regroupe la France, les États-Unis, le Qatar, l’Arabie saoudite et l’Égypte, le président serait élu avec l’approbation américano-saoudienne, dans le cadre d’un règlement régional et international.
Les milieux des Forces libanaises affirment qu' "il est hors de question " de répéter l’erreur de l’élection du président Michel Aoun.
Selon des informations fiables, une délégation conjointe FL-PSP, qui s’est rendue récemment à Riyad pour s’enquérir des résultats des démarches du Quintet visant à faire avancer la question présidentielle, parallèlement à la proposition de trêve à Gaza, n’a rien apporté de nouveau.
La délégation a simplement réitéré que le groupe des cinq nations n’avait pas de préférence pour un candidat en particulier, ni de droit de veto sur un quelconque espoir.
