Tahiti est réputée pour ses magnifiques perles de culture. En parallèle, et sur le plan académique, certains étudiants font des hors-pistes loufoques qu’Ici Beyrouth partagera avec vous dans une chronique récréative qui tombe à pic dans ces moments de pandémie et de crise. À vos fous-rires!

– La psychanalyse ne s’oppose pas à la foie.
– La normalité peut être considérée comme normale dans une certaine société tandis que dans une autre considéré comme anormal.
– Sur le plan médical, il fixe la normalité et l’anormal qui est pratiquement identique dans le monde.
– La notion du normal évoque tout de suite une personne qui résonne bien.
– En plus, quelque chose qui s’écarte de la normal et qui est appliqué et établi par la société est considéré comme normal.
– Le normal et le pathologique sont 2 concepts que la limite entre eux est trop limité.
– Avant il prenait l’anormal à un diable alors maintenant il le comprend.
– Une personne qui hallucine prend beaucoup de temps d’observation pour remarquer et vérifier que cette personne est anormale.
– Les croyances antérieures attribuaient la maladie mentale à une possession des maniaques.
– Dans le passé, ils croyaient qu’une personne qui a une maladie mentale étaient possédaient par le diable. Mais maintenant à cause de la propagation de la santé mentale, elle ne l’est plus.
– Lorsque je jette du jus sur la robe de ma copine ou je ferme la porte sur son nez ou main, ce sont les caractéristiques à être normal, à savoir que la liberté interne, la santé mentale est la lumière extérieur.

– Ce qui est normal pour une société peut être anormale pour une autre et vice vers ça.
– Il y a la norme selon les faits médicaux, si on a une condition comme une maladie ou un trouble duquel la plupart des gens ne souffrent pas, on est anormal.
– Le boxing sur un ring est normal mais le boxing en classe de maths est inacceptable est considéré anormal.
– Si quelqu’un est normal ou anormal doit être prise au sérieux non pas dans le sens que nous, hypocrites de la société désignons lorsqu’on est confronté à une situation argumentative avec autrui.
– Avec l’accompagnement des découvertes de Freud, l’anormalité peut se déclencher en ce que l’on appelle le pathologique.
– La conception psychiatrique avec le DSM à prouver que pour savoir si un personne est normal ou pathologique il faut lui faire un test de sang.
– Plus les normes sont reçus puis donnés de successeur en suceur, vu qu’il y aura toujours quelqu’un qui choisit d’adhérer au groupe.
– La normalité est dure, très dure, très très dure, c’est une normalité hystérique.
– La notion de normal et pathologique étant une étude très importante en psychologie je trouve que cette notion est aussi vague que claire.
– Est pathologique toute personne qui a une pathologie donnée .
– Grâce au temps d’avant et à leurs croyances, ça a permis de faire des recherches et de les renouveler mais ces recherches sont par rapport au normal de chacun qui les a continués.
– Au plan médical tout ce qui est saint est normal.
– Le normal et le pathologique sont deux choses opposées mais délicatement sémilaires.
– Le normal est un fait qui sort de l’anormalité. Il en va de même que tout ce qui est normal est pathologique.
– Tout ce qui est normal n’est pas toujours pathologique.
– Si une chose est perçue comme pathologie elle est moins pensée pathologique.
– La structure nerveuse est dangereuse lorsqu’il y a compostation.
– Les personnes qui ne répondent pas aux normes traditionnelles sont pervers.
– Le fait qu’un homme nous dit "je parle à Dieu" nous considérons ce comportement comme normal mais s’il va dire "Dieu me parle" nous allons le juger comme anormal même si nous le savons bien que rien n’est impossible à Dieu.
– La compréhension du normal et du pathologique vient du fait de la psychologie c’est-à-dire de la personne passée et de son entourage, du milieu social.
– On compare entre les individus et on considère les gens qui ont des maladies mentales comme normaux et les gens qui n’ont pas de maladies mentales comme normaux.