En cas de guerre, le secteur médical devrait être prêt.

Dans un entretien accordé à Ici Éco, le président du syndicat des hôpitaux privés au Liban, Sleiman Haroun, et le président de l’Ordre des médecins de Beyrouth, Youssef Bakhache, ont assuré que les hôpitaux et le corps médical étaient prêts à l’éventualité d’un conflit général. Un plan d’urgence a été mis en place il y a huit mois. Mais "tous ces préparatifs ne serviront à rien si nous n’avons pas d’électricité", assure M. Haroun.

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