Un cheval sur le parking de la Maison d’accueil et de résidence pour l’autonomie (Marpa) d’Ornans, au sud de Besançon (Est) : la scène intrigue un groupe de résidentes qui, avec une prudente distance, observent Emmanuelle Pfrimmer s’affairer autour de l’animal.

Brossage de l’élégante robe bai brun, nettoyage des sabots sur lesquels elle enfile des chaussons antidérapants… " On donne la dernière touche ", explique Emmanuelle, qui a débuté la médiation animale en 2009 et désormais familière des interventions, notamment en maisons de retraite ou dans des établissements pour personnes en situation de handicap.

Docile, Dounka se laisse caresser. " Elle a toujours été calme ", explique Mme Pfrimmer, 45 ans. Pour la médiation animale, " il faut une jument sympa, qui ne soit pas +sur l’oeil+ (sur le qui-vive, ndlr) ou émotive ", explique cette éducatrice titulaire d’un certificat de zoothérapie obtenu au Québec.

 

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