À Beyrouth comme dans le reste du Liban, les coupures d’électricité ont été largement aggravées par trois ans de crise économique. Résultat: des quartiers entiers plongés dans le noir dès que la nuit tombe.
Un phénomène mis en exergue par les marchés de Noël et autres événements typiques de fin d’année, véritables oasis de lumière au milieu de l’obscurité.
Lire aussi
Commentaires