Le chef des Forces libanaises (FL) Samir Geagea a estimé mercredi que "si un second tour aurait été tenu" lors de la séance parlementaire pour l’élection d’un chef de l’État, le pays "aurait eu un président".

"Ce qui s’est passé au Parlement, sans tenir compte des détails, est un blocage réel et effectif, non pas seulement pour la séance d’aujourd’hui, mais pour la présidentielle", a-t-il écrit sur son compte Twitter, en réaction à la douzième séance électorale. Au terme du premier tour, bien avant que les résultats ne soient annoncés, plusieurs députés du Hezbollah et d’Amal se sont retirés de l’hémicycle, provoquant un défaut de quorum.