Pour sa seconde édition, Takreem USA a récolté des fonds pour soutenir financièrement des étudiants libanais aux États-Unis.
Dix personnes, dont trois couples ont été mis à l’honneur au cours de la première édition de Takreem USA qui s’est déroulée le 26 février au Ritz Carlton, à Miami. Se sont ainsi vus distingués Peter Rahal (prix du jeune entrepreneur), Michael Mussallem (catégorie leadership d’entreprise), Cherien Dabis (catégorie excellence culturelle), William et Huda Zoghbi (catégorie réalisation scientifique et technologique), Assaad Razzouk (catégorie développent environnemental et durable), Nijad et Zeina Fares (prix de carrière honorifique), ainsi que Ghassan et Manal (prix de carrière honorifique).
Pour sa première édition aux États-Unis, Takreem USA s’est fixé un autre objectif: celui de récolter des fonds pour soutenir financièrement des étudiants libanais aux USA qui peinent à payer leurs frais universitaires et de subsistance en raison de la crise économique qui sévit depuis plus de deux ans au Liban. " Comme les jeunes Arabes seront les futurs leaders et que c’est pour eux que nous nous réunissons, il est logique de les mettre au centre de la conversation ", a déclaré le fondateur de Takreem, Ricardo Karam.
C’est dans cette optique qu’a été organisée la seconde édition de TAKminds, une plateforme dans le cadre de laquelle sont réunis les acteurs du changement et les nouveaux talents pour échanger sur des sujets bien déterminés. Ainsi, le 26 février, des personnalités du monde arabe se sont réunies dans le cadre de trois différents panels de discussion pour partager leurs expériences, conseils et parcours autour des thèmes suivants: l’entreprenariat, les affaires et les finances; la philanthropie et la science; les femmes dans le leadership.
Takreem a été fondé en 2010 avec pour message celui de montrer au monde que les pays arabes sont des agents du changement qui veulent défier les dures réalités, qu’ils sont pionniers et défenseurs de la liberté, même si certains d’entre eux sont sous le joug de régimes oppressifs. Dans ce contexte, la fondation a déjà mis à l’honneur plus de 100 personnalités arabes.
