Au Liban, plus de 20 000 individus vivraient sans aucun document officiel. Si une partie descend de peuples souvent nomades, qui n’ont pas pris la peine de s’enregistrer, la majorité de ces apatrides ont des parents libanais. Des parents qui, pour des raisons diverses, qu’il s’agisse de la guerre civile ou d’un simple manque d’informations, n’ont pas enregistré leurs enfants avant leur premier anniversaire. Sans papiers, ils ne peuvent pas travailler et sont souvent fortement stigmatisés.
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