©Le FC Barcelone est en phase d’assainissement de ses finances. Photo d’archives AFP
Après avoir annoncé le 1er août la vente de 24,5% des parts de Barça Studios à la plateforme Socios.com pour 100 M d'EUR, le FC Barcelone a indiqué vendredi avoir cédé 24,5% supplémentaires de sa filiale à la société Orpheus Media, dirigée par Jaume Roures, pour cent autres millions d'euros.
Après la vente de 10% puis de 15% des revenus issus des droits TV de la Liga au fonds d'investissement américain Sixth Street cet été pour 400 M d'EUR au total, et la vente de 24,5% des parts de Barça Studios à la plateforme Socios.com début août, le FC Barcelone continue ses manoeuvres pour obtenir des liquidités rapidement afin de pouvoir inscrire toutes ses recrues (Raphinha, Kessié, Christensen, Koundé, Lewandowski...) dans le respect du plafond salarial avant le début du championnat.
Connue en Espagne comme le "quatrième levier", cette vente de Barça Studios (filiale chargée de gérer les réalisations audiovisuelles et les négoces numériques du club) va offrir de nouvelles liquidités au Barça, ce qui devrait augmenter son plafond salarial et l'aider à inscrire ses nouveaux joueurs auprès de LaLiga.
Pour rappel, les dirigeants du FC Barcelone avaient obtenu l'aval des socios (supportersactionnaires) pour vendre 49,9% des parts de Barça Studios. A l'inverse des précédentes transactions avec Sixth Street, ces ventes de parts de Barça Studios ne s'étendent pas sur une durée de 25 ans, mais sont bien définitives.
Orpheus Media est une société dirigée par Jaume Roures, fondateur de Mediapro, ancien diffuseur de la Ligue 1 dont la défaillance en 2020 a plongé le football français dans une crise financière sans précédent.
En plus de la vente d'une partie de ses droits TV, le Barça a récemment joué sur plusieurs fronts pour obtenir rapidement des liquidités et ainsi être actif sur le marché avec un emprunt de 595 M d'EUR à Goldman Sachs et un accord de sponsoring avec Spotify pour environ 435 M d'EUR.
En août 2021, Laporta avait annoncé après un audit des finances du club que le Barça devait faire face à une dette totale estimée à 1,35 milliard d'euros, et le club s'était résolu à laisser partir Lionel Messi au Paris SG en expliquant qu'il ne pouvait se permettre de garder la star argentine, même avec un salaire réduit.
Après la vente de 10% puis de 15% des revenus issus des droits TV de la Liga au fonds d'investissement américain Sixth Street cet été pour 400 M d'EUR au total, et la vente de 24,5% des parts de Barça Studios à la plateforme Socios.com début août, le FC Barcelone continue ses manoeuvres pour obtenir des liquidités rapidement afin de pouvoir inscrire toutes ses recrues (Raphinha, Kessié, Christensen, Koundé, Lewandowski...) dans le respect du plafond salarial avant le début du championnat.
Connue en Espagne comme le "quatrième levier", cette vente de Barça Studios (filiale chargée de gérer les réalisations audiovisuelles et les négoces numériques du club) va offrir de nouvelles liquidités au Barça, ce qui devrait augmenter son plafond salarial et l'aider à inscrire ses nouveaux joueurs auprès de LaLiga.
Pour rappel, les dirigeants du FC Barcelone avaient obtenu l'aval des socios (supportersactionnaires) pour vendre 49,9% des parts de Barça Studios. A l'inverse des précédentes transactions avec Sixth Street, ces ventes de parts de Barça Studios ne s'étendent pas sur une durée de 25 ans, mais sont bien définitives.
Orpheus Media est une société dirigée par Jaume Roures, fondateur de Mediapro, ancien diffuseur de la Ligue 1 dont la défaillance en 2020 a plongé le football français dans une crise financière sans précédent.
En plus de la vente d'une partie de ses droits TV, le Barça a récemment joué sur plusieurs fronts pour obtenir rapidement des liquidités et ainsi être actif sur le marché avec un emprunt de 595 M d'EUR à Goldman Sachs et un accord de sponsoring avec Spotify pour environ 435 M d'EUR.
En août 2021, Laporta avait annoncé après un audit des finances du club que le Barça devait faire face à une dette totale estimée à 1,35 milliard d'euros, et le club s'était résolu à laisser partir Lionel Messi au Paris SG en expliquant qu'il ne pouvait se permettre de garder la star argentine, même avec un salaire réduit.
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