Le ministre de l'Économie et du Commerce, M. Amine Salam, a discuté avec le directeur exécutif de la Banque Mondiale, Mirza Hassan, et le nouveau représentant du groupe de la BM pour la région MENA , M. Jean-Christophe Carret, des projets de la Banque mondiale au Liban, en particulier du début de la mise en œuvre du prêt d'urgence pour l'achat de blé, ainsi que de la stratégie pour assurer la sécurité alimentaire dans le pays.
L'équipe de la Banque mondiale a présenté à M. Salam plusieurs projets liés à la sécurité alimentaire, pour lesquels l’institution a attribué plus de trente milliards de dollars et dont le Liban a été l'un des premiers pays à bénéficier.
M. Hassan a informé le ministre d’un don de la Banque mondiale au ministère de l'Économie et du Commerce pour qu'il puisse développer une stratégie économique et sociale pour la sécurité alimentaire au Liban.
Il a souligné que cette stratégie, sur laquelle le ministère travaillera, traitera en collaboration avec le groupe de la Banque mondiale de quatre priorités:
– Faciliter le développement du commerce: supprimer les politiques qui entravent les opérations d'exportation et d'importation, convertir les cultures alimentaires en industries et ne pas encourager le stockage inutile.
– Soutenir les familles les plus nécessiteuses: étendre les programmes de protection sociale et renouveler les ressources des mécanismes de financement des interventions précoces.
– Investir dans la sécurité alimentaire et la nutrition durable: renforcer les régimes alimentaires pour les rendre plus résistants aux risques croissants (conflits, climat, maladies, troubles du mouvement commercial, choc économiques).
– Soutenir la production et les producteurs: prendre des mesures pour améliorer la production agricole pour la prochaine saison en supprimant les obstacles concernant le commerce du matériel agricole, en se concentrant sur l'augmentation de l'efficacité des engrais et en redirigeant les politiques et les dépenses publiques afin de fournir un meilleur soutien aux agriculteurs et à la production agricole.
Le ministre Salam a pour sa part remercié la Banque mondiale pour son soutien à ce dossier de base. Il a affirmé la volonté de son département et du gouvernement d'adopter une approche globale pour améliorer et développer la sécurité alimentaire au Liban, en bâtissant un environnement favorable, en développant l'infrastructure et en renforçant les capacités techniques et administratives. Il a souligné l’importance de soutenir l’agriculteur libanais et de bénéficier de la technologie pour améliorer les industries agroalimentaires.
Il a assuré aussi que si les secteurs de l’agriculture et de la technologie travaillent de pair, ils pourront créer des opportunités d'emplois, ainsi que des occasions économiques importantes, et aider à innover et à canaliser les énergies des jeunes de manière productive. Et d’ajouter: «Nous nous engageons à travailler en partenariat avec la Banque mondiale pour atteindre une croissance durable à long terme au Liban. Nous travaillerons avec des partenaires de développement pour stimuler la croissance du secteur privé et aider à améliorer la durabilité et la stabilité de la sécurité alimentaire».
L'équipe de la Banque mondiale a présenté à M. Salam plusieurs projets liés à la sécurité alimentaire, pour lesquels l’institution a attribué plus de trente milliards de dollars et dont le Liban a été l'un des premiers pays à bénéficier.
M. Hassan a informé le ministre d’un don de la Banque mondiale au ministère de l'Économie et du Commerce pour qu'il puisse développer une stratégie économique et sociale pour la sécurité alimentaire au Liban.
Il a souligné que cette stratégie, sur laquelle le ministère travaillera, traitera en collaboration avec le groupe de la Banque mondiale de quatre priorités:
– Faciliter le développement du commerce: supprimer les politiques qui entravent les opérations d'exportation et d'importation, convertir les cultures alimentaires en industries et ne pas encourager le stockage inutile.
– Soutenir les familles les plus nécessiteuses: étendre les programmes de protection sociale et renouveler les ressources des mécanismes de financement des interventions précoces.
– Investir dans la sécurité alimentaire et la nutrition durable: renforcer les régimes alimentaires pour les rendre plus résistants aux risques croissants (conflits, climat, maladies, troubles du mouvement commercial, choc économiques).
– Soutenir la production et les producteurs: prendre des mesures pour améliorer la production agricole pour la prochaine saison en supprimant les obstacles concernant le commerce du matériel agricole, en se concentrant sur l'augmentation de l'efficacité des engrais et en redirigeant les politiques et les dépenses publiques afin de fournir un meilleur soutien aux agriculteurs et à la production agricole.
Le ministre Salam a pour sa part remercié la Banque mondiale pour son soutien à ce dossier de base. Il a affirmé la volonté de son département et du gouvernement d'adopter une approche globale pour améliorer et développer la sécurité alimentaire au Liban, en bâtissant un environnement favorable, en développant l'infrastructure et en renforçant les capacités techniques et administratives. Il a souligné l’importance de soutenir l’agriculteur libanais et de bénéficier de la technologie pour améliorer les industries agroalimentaires.
Il a assuré aussi que si les secteurs de l’agriculture et de la technologie travaillent de pair, ils pourront créer des opportunités d'emplois, ainsi que des occasions économiques importantes, et aider à innover et à canaliser les énergies des jeunes de manière productive. Et d’ajouter: «Nous nous engageons à travailler en partenariat avec la Banque mondiale pour atteindre une croissance durable à long terme au Liban. Nous travaillerons avec des partenaires de développement pour stimuler la croissance du secteur privé et aider à améliorer la durabilité et la stabilité de la sécurité alimentaire».
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