Le député Ibrahim Kanaan a annoncé jeudi la fin de l’examen du projet de budget pour 2022 par la Commission parlementaire des Finances et du Budget, qu’il préside.
À l’issue de la réunion de la commission, il a souligné que le rapport qu’il est en passe de préparer au sujet du budget énumèrera les articles approuvés du texte et ceux qui sont restés en suspens. Il exposera aussi, a-t-il précisé, les revenus prévus pour le Trésor public, sur la base des deux scénarios présentés par le ministre sortant des Finances Youssef Khalil: le premier porte sur un dollar douanier fixé à 12.000 LL et le second sur un taux de 14.000 LL.
«De deux maux, il faut choisir le moindre. Le moindre est de transmettre le projet de budget en l’état actuel au Parlement afin que les députés réunis en séance plénière tranchent, alors que le pire est de laisser l’État dépenser sur la base du douzième provisoire. Nous avons choisi le moindre», a-t-il souligné, reconnaissant ainsi que le texte approuvé et qui est censé refléter la politique financière et économique de l'État, n'est pas à la hauteur des défis auxquels le Liban est confronté du fait de la crise qui l'accable depuis bientôt trois ans.
À l’issue de la réunion de la commission, il a souligné que le rapport qu’il est en passe de préparer au sujet du budget énumèrera les articles approuvés du texte et ceux qui sont restés en suspens. Il exposera aussi, a-t-il précisé, les revenus prévus pour le Trésor public, sur la base des deux scénarios présentés par le ministre sortant des Finances Youssef Khalil: le premier porte sur un dollar douanier fixé à 12.000 LL et le second sur un taux de 14.000 LL.
«De deux maux, il faut choisir le moindre. Le moindre est de transmettre le projet de budget en l’état actuel au Parlement afin que les députés réunis en séance plénière tranchent, alors que le pire est de laisser l’État dépenser sur la base du douzième provisoire. Nous avons choisi le moindre», a-t-il souligné, reconnaissant ainsi que le texte approuvé et qui est censé refléter la politique financière et économique de l'État, n'est pas à la hauteur des défis auxquels le Liban est confronté du fait de la crise qui l'accable depuis bientôt trois ans.
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