À l’occasion du 77e anniversaire de la Sûreté générale, le directeur général de la SG, Abbas Ibrahim, a appelé à «s’élever au-dessus des intérêts personnels dans l’intérêt du Liban» et à «être solidaires pour renforcer l’unité nationale», d’autant que le Liban «traverse l’une de crises les plus difficiles et les plus graves de son histoire.
Le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, a appelé lundi «les prisonniers à patienter», affirmant que «leur cause ne sera pas oubliée». «Le dossier des prisons comporte deux volets, l’un lié aux ressources limitées de l’État pour répondre aux besoins des prisons, et l’autre relatif à la surpopulation carcérale et au manque de discipline», a-t-il ajouté lors d’une allocution prononcée lors de la cérémonie organisée à l’occasion du 77e anniversaire de la Sûreté générale.
La semaine dernière, trois prisonniers sont décédés à la prison de Roumieh. Les proches des détenus ont dénoncé la négligence de l’État à assurer les besoins basiques des prisonniers, notamment les médicaments et la nourriture.
«Je ne vous cache pas que des inspections minutieuses sont menées dans les différents bâtiments, a poursuivi M. Maoulaoui. Des téléphones portables ont été trouvés, ainsi que des objets tranchants.» Appelant la justice à «accélérer les procédures judiciaires», il a fait savoir que «79% des personnes qui se trouvent actuellement dans les prisons n’ont pas encore été jugées» et que «43% des prisonniers sont des étrangers».
M. Maoulaoui a affirmé que, durant la semaine en cours, «plus d’une étude sur le nombre des prisonniers sera présentée». «Je pourrais aussi me rendre au Parlement pour demander que cette situation soit traitée», a-t-il poursuivi, saluant le rôle de la Sûreté générale dans «la préservation de l’État et de ses institution».
De son côté, le directeur de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, a appelé les agents de la SG à «s’élever au-dessus des intérêts personnels dans l’intérêt du Liban» et à «être solidaires pour renforcer l’unité nationale», d’autant que le Liban «traverse l’une des crises les plus difficiles et les plus graves de son histoire, à l’ombre de perturbations dans le monde et dans la région, et de changements géopolitiques». «Travaillons ensemble pour sortir le Liban de sa crise», a insisté le général Ibrahim.
Se penchant sur le dossier de la délimitation des frontières maritimes, le général Ibrahim a affirmé que le Liban ne «perdra pas ses droits» et que «l’occupation (israélienne) ne durera pas».
Le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, a appelé lundi «les prisonniers à patienter», affirmant que «leur cause ne sera pas oubliée». «Le dossier des prisons comporte deux volets, l’un lié aux ressources limitées de l’État pour répondre aux besoins des prisons, et l’autre relatif à la surpopulation carcérale et au manque de discipline», a-t-il ajouté lors d’une allocution prononcée lors de la cérémonie organisée à l’occasion du 77e anniversaire de la Sûreté générale.
La semaine dernière, trois prisonniers sont décédés à la prison de Roumieh. Les proches des détenus ont dénoncé la négligence de l’État à assurer les besoins basiques des prisonniers, notamment les médicaments et la nourriture.
«Je ne vous cache pas que des inspections minutieuses sont menées dans les différents bâtiments, a poursuivi M. Maoulaoui. Des téléphones portables ont été trouvés, ainsi que des objets tranchants.» Appelant la justice à «accélérer les procédures judiciaires», il a fait savoir que «79% des personnes qui se trouvent actuellement dans les prisons n’ont pas encore été jugées» et que «43% des prisonniers sont des étrangers».
M. Maoulaoui a affirmé que, durant la semaine en cours, «plus d’une étude sur le nombre des prisonniers sera présentée». «Je pourrais aussi me rendre au Parlement pour demander que cette situation soit traitée», a-t-il poursuivi, saluant le rôle de la Sûreté générale dans «la préservation de l’État et de ses institution».
De son côté, le directeur de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, a appelé les agents de la SG à «s’élever au-dessus des intérêts personnels dans l’intérêt du Liban» et à «être solidaires pour renforcer l’unité nationale», d’autant que le Liban «traverse l’une des crises les plus difficiles et les plus graves de son histoire, à l’ombre de perturbations dans le monde et dans la région, et de changements géopolitiques». «Travaillons ensemble pour sortir le Liban de sa crise», a insisté le général Ibrahim.
Se penchant sur le dossier de la délimitation des frontières maritimes, le général Ibrahim a affirmé que le Liban ne «perdra pas ses droits» et que «l’occupation (israélienne) ne durera pas».
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