Observer les hommes en société, écrire leurs émotions ou leurs silences, dans une approche comique mais aussi émouvante, c’est le but que Walid Arakji, auteur de la pièce, s’est fixé pour écrire Ehker Cigara («Dernière Cigarette»), jouée par Dory al-Samarany, Wissam Saliba et Walid Arakji. La pièce est mise en scène par Lina Abyad et sera présentée au théâtre Monnot du 7 septembre au 2 octobre.
Interrogé au sujet du titre de la pièce, Walid Arakji affirme que «le titre de la pièce n’a rien à voir avec une condamnation à mort. La dernière cigarette est plutôt un symbole dans l’histoire racontée sur scène».
Ekher Cigara serait-elle une adaptation? «Absolument pas, c’est une création originale.» Comment lui est venue cette idée en particulier? Il a «découvert le théâtre en tant qu’acteur en 2018 avec la pièce d’Alexandre Najjar L’inattendue». En 2019, il a «également participé à Monsieur Bechara, également d’Alexandre Najjar». C’est en travaillant sur cette pièce qu’il a commencé à écrire Ekher Cigara. «L’idée était principalement d’essayer de montrer les hommes tels qu’ils sont. Comment ils parlent entre eux, comment ils cachent leurs émotions et leurs problèmes, etc.»
Quant au choix des acteurs et sa collaboration avec Lina Abyad, il affirme que cette dernière est un pilier du théâtre libanais et que c’est un honneur pour lui de l’avoir à la mise en scène. «J’ai eu la chance de travailler avec elle sur les deux pièces citées auparavant. Par ailleurs, je voulais un regard féminin et féministe pour diriger cette pièce qui parle des hommes.»
Qu’en est-il du choix des acteurs ou sur quoi le casting s’est basé? «Wissam Saliba et Dory al-Samarany sont deux acteurs très talentueux et des amis proches à la fois. Pour moi c’était un choix évident. Lina avait déjà travaillé avec Dory, et elle a accroché très vite avec Wissam. J’ai vraiment de la chance d’être entouré d’une telle équipe», affirme Walid Arakji.
Pour conclure, à quoi devrait s’attendre le public? «Ekher Cigara est une comédie dramatique qui fera énormément rire et touchera par moments.»
Interrogé au sujet du titre de la pièce, Walid Arakji affirme que «le titre de la pièce n’a rien à voir avec une condamnation à mort. La dernière cigarette est plutôt un symbole dans l’histoire racontée sur scène».
Ekher Cigara serait-elle une adaptation? «Absolument pas, c’est une création originale.» Comment lui est venue cette idée en particulier? Il a «découvert le théâtre en tant qu’acteur en 2018 avec la pièce d’Alexandre Najjar L’inattendue». En 2019, il a «également participé à Monsieur Bechara, également d’Alexandre Najjar». C’est en travaillant sur cette pièce qu’il a commencé à écrire Ekher Cigara. «L’idée était principalement d’essayer de montrer les hommes tels qu’ils sont. Comment ils parlent entre eux, comment ils cachent leurs émotions et leurs problèmes, etc.»
Quant au choix des acteurs et sa collaboration avec Lina Abyad, il affirme que cette dernière est un pilier du théâtre libanais et que c’est un honneur pour lui de l’avoir à la mise en scène. «J’ai eu la chance de travailler avec elle sur les deux pièces citées auparavant. Par ailleurs, je voulais un regard féminin et féministe pour diriger cette pièce qui parle des hommes.»
Qu’en est-il du choix des acteurs ou sur quoi le casting s’est basé? «Wissam Saliba et Dory al-Samarany sont deux acteurs très talentueux et des amis proches à la fois. Pour moi c’était un choix évident. Lina avait déjà travaillé avec Dory, et elle a accroché très vite avec Wissam. J’ai vraiment de la chance d’être entouré d’une telle équipe», affirme Walid Arakji.
Pour conclure, à quoi devrait s’attendre le public? «Ekher Cigara est une comédie dramatique qui fera énormément rire et touchera par moments.»
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