Beirut Art Film Festival, en partenariat avec l’Institut culturel italien, a donné rendez-vous à son audience le dimanche 28 août à 20h00 pour une diffusion du film Bella Ciao, Song of Rebellion, produit par Paul Russel et réalisé par Andrea Vogt, qui sera suivi d’un débat avec le journaliste et musicien indépendant Pasquale Porciello.
Une centaine de personnes étaient au rendez-vous et ont assisté à la projection d’un film qui relate Histoire et vécu personnel. L’air de Bella Ciao, entonné par petits et grands, surtout après La Casa de Papel qui a enflammé Netflix en 2018, remonte dans l’air du temps à la révolte italienne durant la Seconde Guerre mondiale contre les troupes allemandes et le fascisme, puis au cours du XXe siècle, à celle des travailleurs des rizières contre les conditions de travail inhumaines.
Le tout est que cet hymne, s’il consistue dans l’Histoire une opposition contre le fascisme, s’est répandu dans le monde, a bravé les frontières et les différences culturelles, s’est vu attribuer d’autres paroles, mais est resté fidèle à ses notes, sa mélodie prenante, mélancolique et enthousiaste à la fois, et est demeuré un cri unanime de résistance.
Cet air révolutionnaire a voyagé de l’Italie à l’Espagne, à Prague, en Tchéquie, au Chili, au Liban et a été chanté haut et fort, portant un message d’espoir actif et révolutionnaire contre toute forme d’oppression.
Alice Mogabgab, directrice du BAFF, a ouvert la discussion en remerciant l’équipe pour cette leçon d’Histoire et d’engagement des femmes et a demandé au producteur et à la réalisatrice pourquoi ils se sont concentrés sur ce thème à ce moment précis. Andrea Vogt de répondre que c’est Bella Ciao qui les a incités à réaliser ce film, la chanson de la révolution se propageant partout étant devenue un mystère à élucider. Elle atteste: «Bella Ciao est une révolte active contre le système.»
Grâce à ces événements culturels suivis de débats, mais aussi des documentaires, de l'exploration de l’Histoire des pays, des mouvements de contestation et des révolutions, un peuple demeure éduqué, et donc capable de critique pointue et constructive ou de révolte intrépide pour que justice soit faite. Bella Ciao.
Une centaine de personnes étaient au rendez-vous et ont assisté à la projection d’un film qui relate Histoire et vécu personnel. L’air de Bella Ciao, entonné par petits et grands, surtout après La Casa de Papel qui a enflammé Netflix en 2018, remonte dans l’air du temps à la révolte italienne durant la Seconde Guerre mondiale contre les troupes allemandes et le fascisme, puis au cours du XXe siècle, à celle des travailleurs des rizières contre les conditions de travail inhumaines.
Le tout est que cet hymne, s’il consistue dans l’Histoire une opposition contre le fascisme, s’est répandu dans le monde, a bravé les frontières et les différences culturelles, s’est vu attribuer d’autres paroles, mais est resté fidèle à ses notes, sa mélodie prenante, mélancolique et enthousiaste à la fois, et est demeuré un cri unanime de résistance.
Cet air révolutionnaire a voyagé de l’Italie à l’Espagne, à Prague, en Tchéquie, au Chili, au Liban et a été chanté haut et fort, portant un message d’espoir actif et révolutionnaire contre toute forme d’oppression.
Alice Mogabgab, directrice du BAFF, a ouvert la discussion en remerciant l’équipe pour cette leçon d’Histoire et d’engagement des femmes et a demandé au producteur et à la réalisatrice pourquoi ils se sont concentrés sur ce thème à ce moment précis. Andrea Vogt de répondre que c’est Bella Ciao qui les a incités à réaliser ce film, la chanson de la révolution se propageant partout étant devenue un mystère à élucider. Elle atteste: «Bella Ciao est une révolte active contre le système.»
Grâce à ces événements culturels suivis de débats, mais aussi des documentaires, de l'exploration de l’Histoire des pays, des mouvements de contestation et des révolutions, un peuple demeure éduqué, et donc capable de critique pointue et constructive ou de révolte intrépide pour que justice soit faite. Bella Ciao.
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