Cité par la chaîne panarabe Al-Arabiya, un responsable de la Maison-Blanche a indiqué mercredi qu’un règlement du contentieux frontalier maritime entre le Liban et Israël « est une priorité fondamentale pour l'Administration du président américain Joe Biden ».
« Nous croyons fermement qu’un accord sur la démarcation des frontières maritimes peut favoriser une stabilité et une prospérité économique dans les deux pays », selon ce responsable qui n’est pas identifié.
Le Liban attend toujours de connaître la réponse israélienne à sa proposition qui consiste à adopter la ligne 23 comme ligne de démarcation de la frontière maritime, mais avec un tracé modifié. Il souhaite aussi obtenir le champ de Cana en contrepartie de celui de Karish situé au sud de la zone contestée en Méditerranée (ligne 29) et exploité par Israël.
Le médiateur américain, Amos Hochstein, en charge des pourparlers indirects entre Beyrouth et Tel Aviv au sujet de la démarcation des frontières était venu le 1er août au Liban et s’était rendu le jour même en Israël. Il était censé communiquer aux autorités libanaises la réponse israélienne à leur offre, mais celle-ci se fait toujours attendre. Selon diverses informations - non confirmées - Amos Hochstein est supposé revenir au Liban durant la première quinzaine de septembre.
Le vice-président de la Chambre, Elias Bou Saab, en charge du dossier, avait récemment indiqué dans une déclaration à la presse qu’il poursuit ses contacts avec le médiateur américain à ce sujet, sans donner cependant de précisions au sujet de l’évolution de sa mission.
« Nous croyons fermement qu’un accord sur la démarcation des frontières maritimes peut favoriser une stabilité et une prospérité économique dans les deux pays », selon ce responsable qui n’est pas identifié.
Le Liban attend toujours de connaître la réponse israélienne à sa proposition qui consiste à adopter la ligne 23 comme ligne de démarcation de la frontière maritime, mais avec un tracé modifié. Il souhaite aussi obtenir le champ de Cana en contrepartie de celui de Karish situé au sud de la zone contestée en Méditerranée (ligne 29) et exploité par Israël.
Le médiateur américain, Amos Hochstein, en charge des pourparlers indirects entre Beyrouth et Tel Aviv au sujet de la démarcation des frontières était venu le 1er août au Liban et s’était rendu le jour même en Israël. Il était censé communiquer aux autorités libanaises la réponse israélienne à leur offre, mais celle-ci se fait toujours attendre. Selon diverses informations - non confirmées - Amos Hochstein est supposé revenir au Liban durant la première quinzaine de septembre.
Le vice-président de la Chambre, Elias Bou Saab, en charge du dossier, avait récemment indiqué dans une déclaration à la presse qu’il poursuit ses contacts avec le médiateur américain à ce sujet, sans donner cependant de précisions au sujet de l’évolution de sa mission.
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