Le 2 septembre, le "syndicat alternatif des journalistes" a observé un sit-in à Sanayeh, devant les ministères de l’Intérieur et de l’Information, pour protester contre les agissements criminels de certains acteurs politiques envers les journalistes.
Le sit-in de vendredi s’est tenu en signe de solidarité avec le photographe Hassan Chaabane qui a fait l’objet de menaces. Sans nommer les coupables individuellement, il a identifié le Hezbollah comme étant l’acteur politique qui en est responsable. En effet, le journaliste avait provoqué l’ire du parti chiite en août dernier en couvrant dans un village du Liban-sud des manifestations de protestation contre les pénuries d’eau. Les habitants avaient blâmé directement les responsables du parti.
Après avoir trouvé une balle posée sur son pare-brise, Hassan Chaabane a révélé qu’un engin électronique relié à une bouteille d’essence a été placé près de sa voiture, le jeudi 1er septembre. Il avait de même reçu auparavant un message lui intimant l’ordre de quitter le pays et le traitant de «chien».
La plainte qu’il a déposée est restée lettre morte, les autorités n’ayant toujours pas réagi. De ce fait, le journaliste mène une campagne sur les réseaux sociaux, avec l’appui du Syndicat alternatif des journalistes. Il réclame qu’on mette fin à ces tentatives d’intimidation et que les responsables de tels actes soient appréhendés.
Le sit-in de vendredi s’est tenu en signe de solidarité avec le photographe Hassan Chaabane qui a fait l’objet de menaces. Sans nommer les coupables individuellement, il a identifié le Hezbollah comme étant l’acteur politique qui en est responsable. En effet, le journaliste avait provoqué l’ire du parti chiite en août dernier en couvrant dans un village du Liban-sud des manifestations de protestation contre les pénuries d’eau. Les habitants avaient blâmé directement les responsables du parti.
Après avoir trouvé une balle posée sur son pare-brise, Hassan Chaabane a révélé qu’un engin électronique relié à une bouteille d’essence a été placé près de sa voiture, le jeudi 1er septembre. Il avait de même reçu auparavant un message lui intimant l’ordre de quitter le pays et le traitant de «chien».
La plainte qu’il a déposée est restée lettre morte, les autorités n’ayant toujours pas réagi. De ce fait, le journaliste mène une campagne sur les réseaux sociaux, avec l’appui du Syndicat alternatif des journalistes. Il réclame qu’on mette fin à ces tentatives d’intimidation et que les responsables de tels actes soient appréhendés.
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