Les organismes économiques présidés par l’ancien ministre Mohamad Choucair ont annoncé jeudi leur plan de relance économique et financière, lors d’une conférence de presse, qui a eu lieu à la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Beyrouth et du Mont Liban (CCIAB).
Mohamad Choucair a souligné que les organismes économiques, représentants du secteur privé, ont pris l’initiative de présenter un plan de relance économique, en l’absence de toute décision de la part de l’État pour sortir le pays de la crise multiple qui prévaut depuis trois ans. Les organismes économiques ont chargé une équipe de treize spécialistes, représentants différents secteurs économiques, pour l’élaboration d’un plan de redressement équilibré, fondé principalement sur une relance de l’économie.
Par ailleurs, M.Choucair a mis l’accent sur «la principale préoccupation des instances économiques, reflétée fortement dans ce plan, est qui consiste à parvenir à la justice sociale en donnant la priorité aux petits déposants et en assurant une protection sociale aux Libanais, sans négliger les droits de tous les déposants». «Sans nul doute, bien que toutes les parties doivent assumer la responsabilité des pertes financières, le plan a clairement noté que les banques assument autant que possible leur responsabilité dans ce cadre, tout en préservant le secteur bancaire, nécessaire à toute relance économique et dont la faillite serait un prélude à la destruction des fonds des déposants», a-t-il relevé.
Mohamad Choucair a souligné que les organismes économiques, représentants du secteur privé, ont pris l’initiative de présenter un plan de relance économique, en l’absence de toute décision de la part de l’État pour sortir le pays de la crise multiple qui prévaut depuis trois ans. Les organismes économiques ont chargé une équipe de treize spécialistes, représentants différents secteurs économiques, pour l’élaboration d’un plan de redressement équilibré, fondé principalement sur une relance de l’économie.
Par ailleurs, M.Choucair a mis l’accent sur «la principale préoccupation des instances économiques, reflétée fortement dans ce plan, est qui consiste à parvenir à la justice sociale en donnant la priorité aux petits déposants et en assurant une protection sociale aux Libanais, sans négliger les droits de tous les déposants». «Sans nul doute, bien que toutes les parties doivent assumer la responsabilité des pertes financières, le plan a clairement noté que les banques assument autant que possible leur responsabilité dans ce cadre, tout en préservant le secteur bancaire, nécessaire à toute relance économique et dont la faillite serait un prélude à la destruction des fonds des déposants», a-t-il relevé.
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