Le chef des Forces libanaises Samir Geagea a déclaré lundi que les députés du parti ne voteront pas le projet de budget transmis à la Chambre des députés « parce qu'il n'y a pas de plan de sauvetage, ni une vision complète sur les moyens de sortir de la crise". Il a également annoncé que les représentants FL ne participeront pas à la séance de débat budgétaire prévue pour le 14 septembre, " jour de l’assassinat du président Bachir Gemayel".
À l’issue d’une réunion du bloc parlementaire "La République forte", M. Geagea a dénoncé la décision de nommer un juge suppléant au juge Bitar dans le dossier de l'explosion du port de Beyrouth, considérant l’obstruction de l’enquête comme une « hérésie légale ». Il a précisé que le parti se préparait à présenter des recours si cette décision est maintenue.
Commentant la situation au Liban-Sud, notamment les tensions entre le Hezbollah et la FINUL d’une part, et le dossier de démarcation des frontières maritimes d’autre part, le chef des FL a souligné que "le gouvernement doit empêcher le Hezbollah de faire quoi que ce soit qui pourrait exposer les Libanais et les habitants du Liban-Sud à un quelconque danger".
Concernant l’échéance présidentielle, Samir Geagea, candidat non-déclaré, a rappelé que "les forces politiques ont la responsabilité de s'entendre sur un nom pour la présidence" soulignant que l’incapacité de respecter l’échéance constitutionnelle serait grave.
À l’issue d’une réunion du bloc parlementaire "La République forte", M. Geagea a dénoncé la décision de nommer un juge suppléant au juge Bitar dans le dossier de l'explosion du port de Beyrouth, considérant l’obstruction de l’enquête comme une « hérésie légale ». Il a précisé que le parti se préparait à présenter des recours si cette décision est maintenue.
Commentant la situation au Liban-Sud, notamment les tensions entre le Hezbollah et la FINUL d’une part, et le dossier de démarcation des frontières maritimes d’autre part, le chef des FL a souligné que "le gouvernement doit empêcher le Hezbollah de faire quoi que ce soit qui pourrait exposer les Libanais et les habitants du Liban-Sud à un quelconque danger".
Concernant l’échéance présidentielle, Samir Geagea, candidat non-déclaré, a rappelé que "les forces politiques ont la responsabilité de s'entendre sur un nom pour la présidence" soulignant que l’incapacité de respecter l’échéance constitutionnelle serait grave.
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