"Notre objectif n'est pas de protéger les banques, mais de maintenir l’ordre public. Nous voulons toutefois prévenir les déposants du chaos, car l’instabilité sécuritaire et les agendas politiques de certaines parties compromettra tous les dépôts", a dénoncé vendredi le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui.
Le ministre sortant de l’Intérieur Bassam Maoulaoui a appelé vendredi au maintien de l’ordre public, quelques heures après le braquage de six banques à travers le Liban, dans ce qui semble être un ciblage organisé et prémédité de ces établissements, lors d’un point de presse, à l’issue de sa réunion avec de hauts responsables sécuritaires.
Un chaos total s’était installé à Beyrouth et dans sa banlieue et commençait à s’étendre aux régions périphériques où toutes les banques ont fermé leurs portes vendredi en début d’après-midi, alors que l’intervention des forces de l’ordre restait timide.
"Notre objectif n'est pas de protéger les banques, mais de maintenir l’ordre public. Nous voulons toutefois prévenir les déposants du chaos, car l’instabilité sécuritaire et les agendas politiques de certaines parties compromettra tous les dépôts", a dénoncé M. Maoulaoui. "Ces parties poussent les gens à prendre des mesures contre les banques. Je ne peux pas divulguer plus de détails pour le moment afin de préserver la confidentialité de l'enquête, mais nous traitons cette affaire avec sagesse", a indiqué le ministre de l’Intérieur. "D’ailleurs, nous avons entamé les démarches judiciaires nécessaires. Le procureur de la République près la cour de la Cassation prendra une décision lundi concernant le braquage des banques", a-t-il ajouté.
Et à M. Maoulaoui de conclure : "Ce à quoi nous assistons aujourd'hui est un phénomène malsain. Bien que nous nous solidarisions avec les déposants, il est dans leur intérêt que l'ordre règne dans le pays".
Le ministre sortant de l’Intérieur Bassam Maoulaoui a appelé vendredi au maintien de l’ordre public, quelques heures après le braquage de six banques à travers le Liban, dans ce qui semble être un ciblage organisé et prémédité de ces établissements, lors d’un point de presse, à l’issue de sa réunion avec de hauts responsables sécuritaires.
Un chaos total s’était installé à Beyrouth et dans sa banlieue et commençait à s’étendre aux régions périphériques où toutes les banques ont fermé leurs portes vendredi en début d’après-midi, alors que l’intervention des forces de l’ordre restait timide.
"Notre objectif n'est pas de protéger les banques, mais de maintenir l’ordre public. Nous voulons toutefois prévenir les déposants du chaos, car l’instabilité sécuritaire et les agendas politiques de certaines parties compromettra tous les dépôts", a dénoncé M. Maoulaoui. "Ces parties poussent les gens à prendre des mesures contre les banques. Je ne peux pas divulguer plus de détails pour le moment afin de préserver la confidentialité de l'enquête, mais nous traitons cette affaire avec sagesse", a indiqué le ministre de l’Intérieur. "D’ailleurs, nous avons entamé les démarches judiciaires nécessaires. Le procureur de la République près la cour de la Cassation prendra une décision lundi concernant le braquage des banques", a-t-il ajouté.
Et à M. Maoulaoui de conclure : "Ce à quoi nous assistons aujourd'hui est un phénomène malsain. Bien que nous nous solidarisions avec les déposants, il est dans leur intérêt que l'ordre règne dans le pays".
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