"Le budget tel qu’il est débattu aujourd’hui n’est pas un budget de solution ou de sauvetage, mais un budget dont le seul but est de rassembler des fonds pour les distribuer à des partisans présents dans les institutions de l’État", a déclaré le député de la contestation Marc Daou dimanche lors d’un entretien télévisé.
Le député issu du mouvement de la contestation Marc Daou a déclaré dimanche que "le climat politique et économique du pays est inquiétant", ajoutant que "le Liban se dirigera bientôt vers le chaos le plus total, si les circonstances demeurent telles que le sont actuellement", lors d’un entretien télévisé accordé à la chaîne libanaise MTV.
"Le budget tel qu’il est débattu aujourd’hui n’est pas un budget de solution ou de sauvetage, mais un budget dont le seul but est de rassembler des fonds pour les distribuer à des partisans présents dans les institutions de l’État", a-t-il estimé. "C’est pourquoi nous avons voulu dénoncer ce fait lors de la dernière séance parlementaire, en sortant de l’hémicycle, quelques instants avant l’adoption du dollar douanier, afin d’éviter que le chaos s’ensuive", a-t-il poursuivi.
Par ailleurs, le député issu du mouvement du 17 octobre a ouvertement critiqué le gouvernement sortant, l’accusant de "fuir ses responsabilités" et de "manquer à ses devoirs". "C’est malheureusement le maillon le plus faible qui en pâtit, c’est-à-dire le citoyen", a-t-il expliqué.
Sur un autre plan, M. Daou s’est penché sur la tournée effectuée par les députés de la contestation tout au long de la semaine auprès des différents blocs parlementaires pour présenter leur initiative présidentielle. "Notre visite samedi auprès des Forces libanaises était axée sur la nécessité de remédier au blocage institutionnel qui paralyse le pays ainsi que sur l’importance d’éviter le vide présidentiel", a-t-il indiqué.
Interrogé sur la réunion des 13 députés du changement avec les élus du Hezbollah, Marc Daou a révélé que le parti chiite "ne soutenait aucune candidature à la présidentielle", soulignant toutefois "qu’il serait ouvert au dialogue". Et à M. Daou de conclure, consterné : "Après notre tournée, je peux maintenant affirmer que je n’ai ressenti aucune urgence auprès des parlementaires pour élire un nouveau président".
Le député issu du mouvement de la contestation Marc Daou a déclaré dimanche que "le climat politique et économique du pays est inquiétant", ajoutant que "le Liban se dirigera bientôt vers le chaos le plus total, si les circonstances demeurent telles que le sont actuellement", lors d’un entretien télévisé accordé à la chaîne libanaise MTV.
"Le budget tel qu’il est débattu aujourd’hui n’est pas un budget de solution ou de sauvetage, mais un budget dont le seul but est de rassembler des fonds pour les distribuer à des partisans présents dans les institutions de l’État", a-t-il estimé. "C’est pourquoi nous avons voulu dénoncer ce fait lors de la dernière séance parlementaire, en sortant de l’hémicycle, quelques instants avant l’adoption du dollar douanier, afin d’éviter que le chaos s’ensuive", a-t-il poursuivi.
Par ailleurs, le député issu du mouvement du 17 octobre a ouvertement critiqué le gouvernement sortant, l’accusant de "fuir ses responsabilités" et de "manquer à ses devoirs". "C’est malheureusement le maillon le plus faible qui en pâtit, c’est-à-dire le citoyen", a-t-il expliqué.
Sur un autre plan, M. Daou s’est penché sur la tournée effectuée par les députés de la contestation tout au long de la semaine auprès des différents blocs parlementaires pour présenter leur initiative présidentielle. "Notre visite samedi auprès des Forces libanaises était axée sur la nécessité de remédier au blocage institutionnel qui paralyse le pays ainsi que sur l’importance d’éviter le vide présidentiel", a-t-il indiqué.
Interrogé sur la réunion des 13 députés du changement avec les élus du Hezbollah, Marc Daou a révélé que le parti chiite "ne soutenait aucune candidature à la présidentielle", soulignant toutefois "qu’il serait ouvert au dialogue". Et à M. Daou de conclure, consterné : "Après notre tournée, je peux maintenant affirmer que je n’ai ressenti aucune urgence auprès des parlementaires pour élire un nouveau président".
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