Mercredi, les services de renseignements de l’armée avaient arrêté un homme soupçonné d’être impliqué dans le trafic d’immigrants illégaux à travers la mer, à partir du littoral libanais entre Tripoli et Arida, au nord, vers les côtes européennes.
Selon un communiqué du commandement des forces régulières, l’individu, qui n’a pas été identifié, a reconnu faire partie d’un réseau de passeurs et d’avoir « préparé le départ du Liban vers l’Italie de 90 migrants libanais, syriens et palestiniens le 21 septembre par voie maritime, entraînant le naufrage de l’embarcation de fortune au large des côtes syriennes à Tartous le 22 septembre ».
L’armée s’efforce de démanteler ce réseau de trafiquants d’êtres humains, qui imposerait à chaque migrant une somme qui se situe dans une fourchette allant de 4000 à 6000 dollars, en fonction du nombre de personnes par groupe, mais qu’il envoie à une mort certaine, à bord d’embarcations de fortune.
Celles-ci sont devenues une bouée de sauvetage pour les Libanais qui veulent fuir l’enfer de leurs difficultés quotidiennes, le manque de travail, l’inflation et le manque de perspective, dans l’espoir d’une vie meilleure ailleurs.
Selon un communiqué du commandement des forces régulières, l’individu, qui n’a pas été identifié, a reconnu faire partie d’un réseau de passeurs et d’avoir « préparé le départ du Liban vers l’Italie de 90 migrants libanais, syriens et palestiniens le 21 septembre par voie maritime, entraînant le naufrage de l’embarcation de fortune au large des côtes syriennes à Tartous le 22 septembre ».
L’armée s’efforce de démanteler ce réseau de trafiquants d’êtres humains, qui imposerait à chaque migrant une somme qui se situe dans une fourchette allant de 4000 à 6000 dollars, en fonction du nombre de personnes par groupe, mais qu’il envoie à une mort certaine, à bord d’embarcations de fortune.
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