©Le joueur des Lakers, Talen Horton-Tucker en pleine action
Les Lakers, portés par un duo LeBron James/Russell Westbrook très performant ont maté le rival historique Boston (117-102), mardi en NBA, pendant que Brooklyn renversait une situation compromise pour infliger à Dallas une cinquième défaite consécutive à domicile (102-99).
Le choc entre les deux équipes les plus titrées –17 trophées chacune – a accouché de la performance la plus aboutie du champion 2020 depuis le début de saison, solide défensivement, acharné sur tous les ballons, efficace en attaque. L'occasion était idéale pour rassurer l'entraîneur Frank Vogel, critiqué pour ses difficultés à bâtir un collectif, mais défendu ces dernières heures par LBJ.
«Ces quarante-huit minutes sont les meilleures qu'on ait jouées jusqu'à présent», s'est félicité ce dernier, qui a montré la voie (30 pts, à 13/19) après avoir rappelé que c'était «aux joueurs de faire un meilleur travail sur le parquet».
Il a été entendu. Même si la précipitation lui fait encore faire de grossières erreurs, Westbrook a été au diapason (24 pts, 11 passes), surmotivé à l'image de ce dunk surpuissant au-dessus des nuages verts au 3e quart-temps.
C'est à ce moment-là, sous les yeux du couple Ben Affleck/Jennifer Lopez, assis «courtside», que L.A. a accru son avance à 20 longueurs, plutôt bien gérée ensuite.
Alors qu'Anthony Davis apportait 17 points et 16 rebonds, le seul Celtic à sortir son épingle du jeu fut Jayson Tatum qui, le jour des 65 ans de Larry Bird, a sorti un match comme aimait en faire son glorieux aîné (34 pts).
Avec cette 133e victoire en 296 confrontations face aux C's (163 défaites), L.A. demeure 6e à l'Ouest.
Boston glisse au 10e rang à l'Est, loin du leader Brooklyn qui a eu le dernier mot chez les Mavericks.
Menés presque tout du long, accusant 17 unités de retard au 3e quart-temps (71-54), les Nets ont pris pour la première fois l'avantage au score à sept minutes du terme, pour ne plus le céder.
Deux facteurs essentiels: la défense qui a muselé les Mavs (seulement 13 points inscrits) et Kevin Durant qui a planté 11 de ses 24 pions dans le dernier quart-temps, avec le shoot assurant la victoire à une minute de la fin.
«Notre attaque a commencé à s'améliorer, défensivement, nous avons été solides et le match a tourné à notre avantage», a résumé KD. «L'équipe doit continuer comme ça. Avec des matchs comme celui-ci, il y a du bon à prendre et du mauvais à corriger. On ne fait que s'améliorer.»
Les deux tentatives à trois points manquées par Luka Doncic puis Tim Hardaway Jr dans les vingt dernières secondes n'ont fait qu'illustrer la maladresse à l'exercice (9/46 soit 20,5% de réussite) de Dallas (7e), incapable de faire autre chose que d'arroser à tout-va à longue distance.
Le Slovène, qui a encore pris une faute technique, n'a pourtant pas démérité (28 pts, 9 passes) mais sans peser sur le sort du match quand cela comptait vraiment. Idem pour le Letton Kristaps Porzingis (17 pts, 12 rbds), qui aurait mérité d'être plus utilisé à l'intérieur.
Côté Nets, ce fut encore parfois laborieux, mais leur capacité à élever leur niveau de jeu a payé, à l'image de James Harden (23 pts, 12 passes, 9 rbds).
Les Knicks, l'autre franchise new-yorkaise, ont stoppé l'hémorragie après trois défaites en s'imposant (121-109) chez les Spurs, grâce à RJ Barrett irrésistible derrière l'arc (7/8, 32 pts), alors que Julius Randle (15 pts, 7 passes, 7 rbds) et Evan Fournier (7 pts) ont été contenus.
New York (12-12) reste 11e à l'Est, San Antonio (8-15) demeure 12e à l'Ouest.
Source : AFP
Le choc entre les deux équipes les plus titrées –17 trophées chacune – a accouché de la performance la plus aboutie du champion 2020 depuis le début de saison, solide défensivement, acharné sur tous les ballons, efficace en attaque. L'occasion était idéale pour rassurer l'entraîneur Frank Vogel, critiqué pour ses difficultés à bâtir un collectif, mais défendu ces dernières heures par LBJ.
«Ces quarante-huit minutes sont les meilleures qu'on ait jouées jusqu'à présent», s'est félicité ce dernier, qui a montré la voie (30 pts, à 13/19) après avoir rappelé que c'était «aux joueurs de faire un meilleur travail sur le parquet».
Il a été entendu. Même si la précipitation lui fait encore faire de grossières erreurs, Westbrook a été au diapason (24 pts, 11 passes), surmotivé à l'image de ce dunk surpuissant au-dessus des nuages verts au 3e quart-temps.
C'est à ce moment-là, sous les yeux du couple Ben Affleck/Jennifer Lopez, assis «courtside», que L.A. a accru son avance à 20 longueurs, plutôt bien gérée ensuite.
Alors qu'Anthony Davis apportait 17 points et 16 rebonds, le seul Celtic à sortir son épingle du jeu fut Jayson Tatum qui, le jour des 65 ans de Larry Bird, a sorti un match comme aimait en faire son glorieux aîné (34 pts).
Avec cette 133e victoire en 296 confrontations face aux C's (163 défaites), L.A. demeure 6e à l'Ouest.
Boston glisse au 10e rang à l'Est, loin du leader Brooklyn qui a eu le dernier mot chez les Mavericks.
Menés presque tout du long, accusant 17 unités de retard au 3e quart-temps (71-54), les Nets ont pris pour la première fois l'avantage au score à sept minutes du terme, pour ne plus le céder.
Deux facteurs essentiels: la défense qui a muselé les Mavs (seulement 13 points inscrits) et Kevin Durant qui a planté 11 de ses 24 pions dans le dernier quart-temps, avec le shoot assurant la victoire à une minute de la fin.
«Notre attaque a commencé à s'améliorer, défensivement, nous avons été solides et le match a tourné à notre avantage», a résumé KD. «L'équipe doit continuer comme ça. Avec des matchs comme celui-ci, il y a du bon à prendre et du mauvais à corriger. On ne fait que s'améliorer.»
Les deux tentatives à trois points manquées par Luka Doncic puis Tim Hardaway Jr dans les vingt dernières secondes n'ont fait qu'illustrer la maladresse à l'exercice (9/46 soit 20,5% de réussite) de Dallas (7e), incapable de faire autre chose que d'arroser à tout-va à longue distance.
Le Slovène, qui a encore pris une faute technique, n'a pourtant pas démérité (28 pts, 9 passes) mais sans peser sur le sort du match quand cela comptait vraiment. Idem pour le Letton Kristaps Porzingis (17 pts, 12 rbds), qui aurait mérité d'être plus utilisé à l'intérieur.
Côté Nets, ce fut encore parfois laborieux, mais leur capacité à élever leur niveau de jeu a payé, à l'image de James Harden (23 pts, 12 passes, 9 rbds).
Les Knicks, l'autre franchise new-yorkaise, ont stoppé l'hémorragie après trois défaites en s'imposant (121-109) chez les Spurs, grâce à RJ Barrett irrésistible derrière l'arc (7/8, 32 pts), alors que Julius Randle (15 pts, 7 passes, 7 rbds) et Evan Fournier (7 pts) ont été contenus.
New York (12-12) reste 11e à l'Est, San Antonio (8-15) demeure 12e à l'Ouest.
Source : AFP
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