L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) confirme que 70% du secteur agricole libanais ont été touchés, tant directement qu'indirectement. Des milliers d'hectares ont été complètement ou presque totalement détruits et 65.000 oliviers ont entièrement brûlé en raison de bombardements au phosphore blanc, interdit au niveau international, et à la bombe à fragmentation. Cette situation requiert impérativement du gouvernement et du ministère de l'Agriculture des efforts considérables pour déminer et nettoyer ces vastes champs. En effet, tant qu’il reste des bombes à fragmentation, les agriculteurs ne peuvent pas accéder à ces terres, car leur sécurité serait menacée.
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