Les ventes de voitures d’occasion ont été nulles depuis fin septembre, jusqu'à l'annonce de l'accord de cessez-le-feu.
Selon Élie Kazzi, président du Syndicat des importateurs de voitures d'occasion, les pertes dues aux dommages subis par les véhicules importés pendant la guerre entre Israël et le Hezbollah s’élèvent à environ 60 millions de dollars.
Ce secteur se révèle particulièrement vulnérable, les Libanais hésitant à acheter des voitures d’occasion en période d’instabilité, vu qu’elles sont souvent stationnées en pleine rue.
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