©Le Kényan Amos Kipruto a gagné le marathon de Londres dimanche. AFP
Le Kényan Amos Kipruto a remporté dimanche dès sa première participation le marathon de Londres, où la jeune Éthiopienne Yalemzerf Yehualaw est devenue la plus jeune gagnante de la course féminine à 23 ans.
Kipruto, 30 ans, s'est imposé en 2 heures, 4 minutes et 39 secondes, en faisant la différence progressivement dans les cinq derniers kilomètres, devant l'Éthiopien Leul Gebresilase (2:05.23) et le Belge Bashir Abdi (2:05.19).
C'est la plus belle victoire du Kényan, qui avait déjà à son palmarès les marathons de Rome (2016) et de Séoul (2017, 2019) et une médaille de bronze aux championnats du monde 2019. Il a profité de l'absence à Londres des grands noms de la discipline (Eliud Kipchoge, Mo Farah, etc).
Longtemps dans le groupe de tête, le tenant du titre, l'Éthiopien Sisay Lemma, n'a fini que septième. Aucun des cinq premiers n'étaient dans le top 10 de l'an dernier.
"Mon entraînement s'est parfaitement déroulé et j'étais prêt, a dit le vainqueur au micro de la BBC. "Je remercie mon entraîneur, qui a tout fait pour me mettre dans les meilleures conditions".
Chez les femmes, Yalemzerf Yehualaw s'est imposée avec autorité en 2:17:26, à trois secondes de son record personnel établi à Hambourg en avril. Elle a réussi à se relever d'une chute à une dizaine de kilomètres de l'arrivée, après avoir buté sur un ralentisseur.
L'Éthiopienne a pris les commandes au bout d'une quinzaine de kilomètres, entraînant avec elle Judith Korir, Sutume Kebede, Alemu Megertu et la tenante du titre Joyciline Jepkosgei.
Cette dernière a cédé dans les dix derniers kilomètres et pris la deuxième place à 39 secondes, dans un temps inférieur à celui de sa victoire en 2021, devant l'Éthiopienne Megertu.
Kipruto, 30 ans, s'est imposé en 2 heures, 4 minutes et 39 secondes, en faisant la différence progressivement dans les cinq derniers kilomètres, devant l'Éthiopien Leul Gebresilase (2:05.23) et le Belge Bashir Abdi (2:05.19).
C'est la plus belle victoire du Kényan, qui avait déjà à son palmarès les marathons de Rome (2016) et de Séoul (2017, 2019) et une médaille de bronze aux championnats du monde 2019. Il a profité de l'absence à Londres des grands noms de la discipline (Eliud Kipchoge, Mo Farah, etc).
Longtemps dans le groupe de tête, le tenant du titre, l'Éthiopien Sisay Lemma, n'a fini que septième. Aucun des cinq premiers n'étaient dans le top 10 de l'an dernier.
"Mon entraînement s'est parfaitement déroulé et j'étais prêt, a dit le vainqueur au micro de la BBC. "Je remercie mon entraîneur, qui a tout fait pour me mettre dans les meilleures conditions".
Chez les femmes, Yalemzerf Yehualaw s'est imposée avec autorité en 2:17:26, à trois secondes de son record personnel établi à Hambourg en avril. Elle a réussi à se relever d'une chute à une dizaine de kilomètres de l'arrivée, après avoir buté sur un ralentisseur.
L'Éthiopienne a pris les commandes au bout d'une quinzaine de kilomètres, entraînant avec elle Judith Korir, Sutume Kebede, Alemu Megertu et la tenante du titre Joyciline Jepkosgei.
Cette dernière a cédé dans les dix derniers kilomètres et pris la deuxième place à 39 secondes, dans un temps inférieur à celui de sa victoire en 2021, devant l'Éthiopienne Megertu.
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