Dans la banlieue de Damas, les marteaux résonnent encore, mais la colère monte. Le nouveau gouvernement syrien a multiplié le prix de l’électricité jusqu’à soixante fois, rendant l’énergie presque inaccessible. Avec des coupures de courant pouvant durer plus de vingt heures, les générateurs privés sont devenus indispensables mais coûteux.


Alaa Moussa, vendeuse de rue, témoigne : « Personne ne va payer. Il n’y a pas de travail, toutes les usines sont fermées. » Pour de nombreux Syriens, l’électricité est redevenue un luxe, et l’espoir, une lumière fragile.

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