©Le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) de France, Thierry Beaudet s'entretenant avec le Premier ministre sortant Najib Mikati.
Le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) de France, Thierry Beaudet s’est rendu au Liban jeudi pour une visite officielle, au cours de laquelle il a rencontré le président de la République, Michel Aoun, le premier Ministre sortant Najib Mikati, et le président de la Chambre, Nabih Berry.
Suite à sa rencontre avec Najib Mikati, en présence de Charles Arbid, président du Conseil économique, social et environnemental libanais, et du Premier conseiller à l'Ambassade de France, Jean-François Guillaume, Thierry Beaudet a fait état, au cours d’un point de presse, d’une volonté de renforcer la coopération avec le CESE libanais.
Il a dans ce contexte préconisé une plus large participation du secteur privé à l’élaboration de politiques publiques. « Nous sommes convaincus que (…) les forces vives de nos deux pays, à savoir le secteur privé (…) et les acteurs de la société civile peuvent aider les responsables à élaborer des politiques publiques (…) acceptables pour le peuple, dans le but d’une plus grande prospérité et d’une justice pour tous ». Et le responsable français d’ajouter : « J'ai eu l'occasion d'informer le Premier ministre de l'importance du rôle du Conseil économique et social en France, et de l’importance de renforcer le rôle du Conseil économique et social libanais, (d’autant plus qu’il a été) réformé, afin de répondre aux défis importants auxquels fait face le Liban ».
Suite à sa rencontre avec Najib Mikati, en présence de Charles Arbid, président du Conseil économique, social et environnemental libanais, et du Premier conseiller à l'Ambassade de France, Jean-François Guillaume, Thierry Beaudet a fait état, au cours d’un point de presse, d’une volonté de renforcer la coopération avec le CESE libanais.
Il a dans ce contexte préconisé une plus large participation du secteur privé à l’élaboration de politiques publiques. « Nous sommes convaincus que (…) les forces vives de nos deux pays, à savoir le secteur privé (…) et les acteurs de la société civile peuvent aider les responsables à élaborer des politiques publiques (…) acceptables pour le peuple, dans le but d’une plus grande prospérité et d’une justice pour tous ». Et le responsable français d’ajouter : « J'ai eu l'occasion d'informer le Premier ministre de l'importance du rôle du Conseil économique et social en France, et de l’importance de renforcer le rôle du Conseil économique et social libanais, (d’autant plus qu’il a été) réformé, afin de répondre aux défis importants auxquels fait face le Liban ».
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