Le vice-secrétaire général du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a affirmé dimanche être en faveur de la formation d’un gouvernement "même à quelques jours de la fin du mandat présidentiel".
Le numéro deux du mouvement chiite a estimé que "la formation d’un nouveau cabinet pourrait régler certains des problèmes existants, voire même la problématique liée à la présidence de la République au cas où un successeur au chef de l’État, Michel Aoun, ne serait pas élu dans les délais constitutionnels". Ce qui, selon lui, évitera le débat sur les prérogatives d’un gouvernement d’expédition des affaires courantes, à savoir si celui-ci pourra, ou non, se voir transmettre celles du président de la République; et empêcher des conflits politiques sur le plan interne.
Cheikh Kassem a par ailleurs mis en garde les différentes factions politiques contre "l'élection d'un président faible et non-politisé, dans les circonstances actuelles que traverse le pays". "Il existe deux types de présidents : un président de défi, qui cherche la confrontation et qui souhaite imposer sa vision au détriment du pays ; et un autre qui a une vision nationale et moderne, qui fait face aux défis par le biais du dialogue, sans avoir recours aux pays étrangers", a-t-il expliqué.
Naïm Kassem a en outre critiqué "ceux qui font preuve d’une logique obstructionniste", déclarant "qu’il est nécessaire de dégager des dénominateurs communs avec les autres forces politiques pour choisir un président qui satisferait les différents groupes".
Concernant la délimitation des frontières maritimes entre le Liban et Israël, cheikh Kassem a affirmé que "le Hezbollah suit les développements liés à ce dossier de près à travers les informations relayées par l’envoyé américain Amos Hochstein et non pas par la propagande médiatique".
Le numéro deux du mouvement chiite a estimé que "la formation d’un nouveau cabinet pourrait régler certains des problèmes existants, voire même la problématique liée à la présidence de la République au cas où un successeur au chef de l’État, Michel Aoun, ne serait pas élu dans les délais constitutionnels". Ce qui, selon lui, évitera le débat sur les prérogatives d’un gouvernement d’expédition des affaires courantes, à savoir si celui-ci pourra, ou non, se voir transmettre celles du président de la République; et empêcher des conflits politiques sur le plan interne.
Cheikh Kassem a par ailleurs mis en garde les différentes factions politiques contre "l'élection d'un président faible et non-politisé, dans les circonstances actuelles que traverse le pays". "Il existe deux types de présidents : un président de défi, qui cherche la confrontation et qui souhaite imposer sa vision au détriment du pays ; et un autre qui a une vision nationale et moderne, qui fait face aux défis par le biais du dialogue, sans avoir recours aux pays étrangers", a-t-il expliqué.
Naïm Kassem a en outre critiqué "ceux qui font preuve d’une logique obstructionniste", déclarant "qu’il est nécessaire de dégager des dénominateurs communs avec les autres forces politiques pour choisir un président qui satisferait les différents groupes".
Concernant la délimitation des frontières maritimes entre le Liban et Israël, cheikh Kassem a affirmé que "le Hezbollah suit les développements liés à ce dossier de près à travers les informations relayées par l’envoyé américain Amos Hochstein et non pas par la propagande médiatique".
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