Le palais Sursock, fortement endommagé par la double explosion au port de Beyrouth, le 4 août 2020, devrait retrouver son charme d’antan grâce à un financement de l’Unesco. Cette initiative qui s’inscrit dans le cadre du projet «LiBeirut» (pour Beyrouth) de l’Unesco est réalisée, en partenariat avec le bureau fédéral Suisse de la culture et l’Association du palais Sursock.
Le palais Sursock, qui date de 1860, est un trésor du patrimoine libanais. C’est l’une des plus grandes résidences du pays datant de l’époque ottomane.
«À travers l’initiative LiBeirut, l’Unesco place le patrimoine au cœur des efforts internationaux de récupération, a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco. Le palais de Sursock est un joyau de l’architecture libanaise et un puissant symbole de fierté et de résilience pour la communauté beyrouthine.»
Grâce à ce financement, l’Unesco va pouvoir réhabiliter les structures du bâtiment les plus endommagées, à savoir l’élévation nord et les deux toits nord. L’idée première est de se concentrer sur les façades extérieures afin de garantir la stabilité de l’architecture. Cela permettra au palais Sursock de rouvrir progressivement ses portes au grand public et de contribuer ainsi à la vie culturelle libanaise. Dans un second temps, l’intérieur du palais sera restauré, si les fonds le permettent.
La réhabilitation du palais Sursock est notamment rendue possible grâce au travail mené par Iconem, une startup spécialisée dans la numérisation en 3D des sites en péril du patrimoine culturel.
Le palais Sursock, qui date de 1860, est un trésor du patrimoine libanais. C’est l’une des plus grandes résidences du pays datant de l’époque ottomane.
«À travers l’initiative LiBeirut, l’Unesco place le patrimoine au cœur des efforts internationaux de récupération, a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco. Le palais de Sursock est un joyau de l’architecture libanaise et un puissant symbole de fierté et de résilience pour la communauté beyrouthine.»
Grâce à ce financement, l’Unesco va pouvoir réhabiliter les structures du bâtiment les plus endommagées, à savoir l’élévation nord et les deux toits nord. L’idée première est de se concentrer sur les façades extérieures afin de garantir la stabilité de l’architecture. Cela permettra au palais Sursock de rouvrir progressivement ses portes au grand public et de contribuer ainsi à la vie culturelle libanaise. Dans un second temps, l’intérieur du palais sera restauré, si les fonds le permettent.
La réhabilitation du palais Sursock est notamment rendue possible grâce au travail mené par Iconem, une startup spécialisée dans la numérisation en 3D des sites en péril du patrimoine culturel.
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