Selon divers médias locaux, l’ambassadeur d’Arabie saoudite Walid Boukhari s’est rendu à Paris la semaine dernière pour des entretiens au Quai d’Orsay au sujet de la crise libanaise et notamment du blocage au niveau de la présidentielle et de la formation d’un nouveau gouvernement.
Cette visite s’inscrit dans le cadre des contacts engagés entre Riyad, Paris et Washington autour du dossier libanais. Celui-ci avait également fait l’objet de discussions entre la cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, et son homologue américain Anthony Blinken à Washington, où Mme Colonna s’était rendue après une visite à Beyrouth.
Dans une déclaration conjointe en septembre dernier, faite en marge de la 77e assemblée générale de l’ONU, Paris, Washington et Riyad avaient appelé à l’élection d’un président dans les délais constitutionnels, soulignant que ce dernier «devrait être fédérateur et œuvrer avec les acteurs régionaux et internationaux pour tirer le Liban de ses difficultés». Ils avaient aussi pressé pour la formation d’un gouvernement qui lancerait sans tarder le chantier de réformes nécessaires pour une sortie de crise.
Cette visite s’inscrit dans le cadre des contacts engagés entre Riyad, Paris et Washington autour du dossier libanais. Celui-ci avait également fait l’objet de discussions entre la cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, et son homologue américain Anthony Blinken à Washington, où Mme Colonna s’était rendue après une visite à Beyrouth.
Dans une déclaration conjointe en septembre dernier, faite en marge de la 77e assemblée générale de l’ONU, Paris, Washington et Riyad avaient appelé à l’élection d’un président dans les délais constitutionnels, soulignant que ce dernier «devrait être fédérateur et œuvrer avec les acteurs régionaux et internationaux pour tirer le Liban de ses difficultés». Ils avaient aussi pressé pour la formation d’un gouvernement qui lancerait sans tarder le chantier de réformes nécessaires pour une sortie de crise.
Lire aussi
Commentaires